Pot au feu et quenelles de moelle

Par temps d’hiver, c’est un vrai bonheur de se réchauffer en partageant un bon pot au feu. Je l’agrémente dans la tradition familiale avec des quenelles de moelle que je fais de mes petits doigts.

 

Les morceaux de pot au feu sont les viandes à bouillir (jarret, plat de côtes, joue, queue, …) mais j’aime bien aussi parfois faire un pot de feu « maigre » avec du bourguignon etc…

 

En règle générale, pour exprimer le gras, il faut cuire à viande à l’eau froide. Si on la veut moins grasse, on la trempe dans l’eau chaude. En tout cas, c’est comme ça que j’ai appris. J’ajoute un gros oignon piqué de clous de girofle (juste pour éviter d’avoir des clous de girofle partout), des baies de genièvre, du poivre et du sel. Et aussi des carottes du jardin (qui sont bien meilleures de les carottes du commerce et pas du tout insipides), du poireau, du céleri, des navets, des pommes de terre. Je laisse cuire au moins une heure et demi à l’autocuiseur. Et hop, c’est prêt ! Juste le temps d’éplucher des légumes, la ménagère organisée peut ainsi faire plein d’autres choses pendant la cuisson !

Pour les quenelles de moelle, je vous donne la recette dans un autre article intitulé de façon savamment originale « les quenelles de moelle ». Etonnant, non ? et surtout, qu’est-ce que c’est bon !

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